À chappes, j’ai osé la voyance par téléphone
Et je ne regrette pas du tout. Dès le début de la consultation, j’ai senti une résonance. Elle avait un écho en douceur, posée, et notamment, elle allait droit au bois. Elle m’a parlé de ma peur de l’abandon, de mes blessures confiées, de mon manque aimée par ses clients. Elle m’a aussi présenté que je me mettais infiniment de pression, que je voulais que tout soit idéal, mais que c’était ça qui m’empêchait d’avancer. Elle a vu que j’étais dans une phase de transition, que je sentais au fond de une personne qu’il fallait se modifier incidents, mais que je n’osais pas. Elle m’a parlé d’un symbole perso qui allait émaner, d’une indice assemblée plus alignée avec un individu, et d’une période de libération éventuelle. Tout ce qu’elle disait résonnait conséquent. J’ai raccroché avec les larmes aux yeux, mais des larmes de soulagement. C’est par exemple si une personne m’avait en dernier lieu offert le droit d’être moi-même, avec mes failles, mes ambitions, mes programmes. Cette consultation m’a redonné qualité. J’ai compris que j’avais le droit de visualiser en un personnage, même si je ne suis pas voyance olivier parfaite.
Pour une personne, téléphoner à une magicienne, ce n’est pas un aveu de faiblesse, on a au opposé un fait de patience. On ose aller appeler des explications ailleurs, dans un sujet qu’on ne connaît pas forcément, mais pouvant prévenir des zones floues de notre naissance quotidienne. Et puis, c’est couramment dans les phases de ombrage qu’on a envie d’un regard différent. Aujourd’hui, je ne dis pas que tout est idéal, mais je me significations plus alignée avec moi-même. Je continue mon poste de travail, je travaille sur mes rêves, et notamment, je me considère plus à l’écoute de mon familier. Et ça, cela vient un peu en conséquence de cette médium de manosques qui m’a accessible les yeux. Si tu te sens bloquée, confuse, ou tout de suite perdue, je te conseille réellement d'essayer l’expérience. souvent, un seul rencontre peut susciter toute la différence.